Rénovation énergétique #immobilier #thermicien #DPE
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Rénovation énergétique des logements !
Quels sont les facteurs de consommation d’énergie ?
Quelles techniques d’isolation utiliser ?
comment rénover un logement en conformité avec le nouveau DPE 2022?
Économiser l’énergie dans le bâtiment se traduit dans les bâtiments existants par la mise en œuvre de solutions de rénovation précisées dans différents cadres réglementaires.
La directive Européenne sur la Performance Énergétique des bâtiments impose aux états membre de l’Union d’adopter des outils de calculs de la performance énergétique, d’appliquer des normes minimales de performance lorsqu’on rénove un logement,
de certifier les bâtiments et de contrôler les systèmes de chauffage et de refroidissement.
Si les mesures appliquées actuellement sur les bâtiments anciens ne sont pas les bonnes, et qu’une redéfinition des politiques publiques d’économie d’énergie viendraient à être modifiées dans quelques années, les bâtiments anciens qui auront été lourdement modifiés par l’application de règles inappropriées auront été tout bonnement sacrifiés pour rien.
Le diagnostic énergétique (DPE) analyse les 4 postes d’énergie principaux:
1. Chauffage,
2. Eau chaude,
3. Climatisation,
4. Éclairage.
La performance énergétique d’un bâtiment repose quant à elle sur ses caractéristiques :
1. Le Bâti.
2. La Qualité de l’isolation,
3. Le Type de fenêtres,
4. Et le Système de chauffage,
L’isolation peut avoir un effet néfaste quand elle bloque la respiration des matériaux.
Les niveaux de performances actuellement préconisés par les DPE dans le bâti ancien me semble avoir été déterminés sans connaissances préalables des pathologies qu’ils sont susceptibles d’occasionner sur le long terme.
La faiblesse des pratiques de rénovation provient de l’absence de capitalisation de connaissances des chantiers de rénovations qui ne sont pas suivis. Sans capitalisation de cette connaissance, l’apprentissage empirique est rendu impossible.
Les préconisations DPE sont tributaires de coefficients appliqués quelles que soient la nature des bâtiments anciens, indépendamment de toute considération sur les types de maçonnerie. Ignorer les types de maçonneries et fixer des niveaux très élevés revient à disqualifier les mesures de correction thermique du bâtiment.
Les matériaux composant les structures des bâtiments anciens sont très perméables à l’eau, à l’inverse du béton qui est relativement imperméable.
Les structures des bâtiments anciens sont donc un lieu où transite en permanence de l’eau.
L’interruption de ces flux peut causer des dégâts importants dans les structures, notamment si du bois les composent.
La difficulté posée par ces questions hygrothermiques est qu’elles apparaissent de façon pathologique plusieurs années après le chantier de rénovation. Ce qui fait que l’apprentissage des « bonnes pratiques » se fait naturellement de façon trop lente.
Avant de réaliser des travaux d’isolation, il est important de diagnostiquer les performances thermiques du logement.
Vous pouvez faire appel à un thermicien (ou un bureau d’études thermiques) pour faire réaliser le « diagnostic thermique » du logement.
Il est important de toujours coupler des travaux d’isolation à un système de ventilation efficace pour assurer le renouvellement d’air dans un logement devenu plus étanche.
Comme l’air chaud est plus léger que l’air froid, il a tendance à monter et à s’échapper par le toit, lorsque la couverture est mal isolée.
Cette déperdition de chaleur représente jusqu’à 30 % des pertes thermiques. Le toit est ainsi la zone où les pertes de chaleur sont les plus importantes donc l’isolation thermique des toitures est une priorité en termes de rénovation thermique.
La conductivité thermique est la capacité d’un matériau à conduire la chaleur.
En matière de performances thermiques, les matériaux usuels assurant la fonction porteuse, comme le béton, le parpaing ou même la pierre de taille présentent en général un faible pouvoir isolant. Il faut leur ajouter un isolant thermique : la laine de verre, la laine de roche, la laine de chanvre, le polystyrène PSE, le polyuréthane, la laine de bois, etc.
Dans le premier cas, la pose d’un isolant se fait contre les parois intérieures du bâtiment alors que dans le second, le matériau isolant est posé du côté extérieur des murs.
L’ouverture des fenêtres est insuffisante pour évacuer l’humidité au fur et à mesure de sa production. Seule la ventilation continue, mécanique ou naturelle assistée permet d’évacuer efficacement l’humidité.
Les fenêtres jouent un rôle important dans votre logement. Elles servent de rempart aux intempéries, permettent de laisser entrer la lumière et isolent thermiquement et acoustiquement votre logement.
Rénovation énergétique des logements !
Quels sont les facteurs de consommation d’énergie ?
Quelles techniques d’isolation utiliser ?
comment rénover un logement en conformité avec le nouveau DPE 2022?
Économiser l’énergie dans le bâtiment se traduit dans les bâtiments existants par la mise en œuvre de solutions de rénovation précisées dans différents cadres réglementaires.
La directive Européenne sur la Performance Énergétique des bâtiments impose aux états membre de l’Union d’adopter des outils de calculs de la performance énergétique, d’appliquer des normes minimales de performance lorsqu’on rénove un logement,
de certifier les bâtiments et de contrôler les systèmes de chauffage et de refroidissement.
Si les mesures appliquées actuellement sur les bâtiments anciens ne sont pas les bonnes, et qu’une redéfinition des politiques publiques d’économie d’énergie viendraient à être modifiées dans quelques années, les bâtiments anciens qui auront été lourdement modifiés par l’application de règles inappropriées auront été tout bonnement sacrifiés pour rien.
Le diagnostic énergétique (DPE) analyse les 4 postes d’énergie principaux:
1. Chauffage,
2. Eau chaude,
3. Climatisation,
4. Éclairage.
La performance énergétique d’un bâtiment repose quant à elle sur ses caractéristiques :
1. Le Bâti.
2. La Qualité de l’isolation,
3. Le Type de fenêtres,
4. Et le Système de chauffage,
L’isolation peut avoir un effet néfaste quand elle bloque la respiration des matériaux.
Les niveaux de performances actuellement préconisés par les DPE dans le bâti ancien me semble avoir été déterminés sans connaissances préalables des pathologies qu’ils sont susceptibles d’occasionner sur le long terme.
La faiblesse des pratiques de rénovation provient de l’absence de capitalisation de connaissances des chantiers de rénovations qui ne sont pas suivis. Sans capitalisation de cette connaissance, l’apprentissage empirique est rendu impossible.
Les préconisations DPE sont tributaires de coefficients appliqués quelles que soient la nature des bâtiments anciens, indépendamment de toute considération sur les types de maçonnerie. Ignorer les types de maçonneries et fixer des niveaux très élevés revient à disqualifier les mesures de correction thermique du bâtiment.
Les matériaux composant les structures des bâtiments anciens sont très perméables à l’eau, à l’inverse du béton qui est relativement imperméable.
Les structures des bâtiments anciens sont donc un lieu où transite en permanence de l’eau.
L’interruption de ces flux peut causer des dégâts importants dans les structures, notamment si du bois les composent.
La difficulté posée par ces questions hygrothermiques est qu’elles apparaissent de façon pathologique plusieurs années après le chantier de rénovation. Ce qui fait que l’apprentissage des « bonnes pratiques » se fait naturellement de façon trop lente.
Avant de réaliser des travaux d’isolation, il est important de diagnostiquer les performances thermiques du logement.
Vous pouvez faire appel à un thermicien (ou un bureau d’études thermiques) pour faire réaliser le « diagnostic thermique » du logement.
Il est important de toujours coupler des travaux d’isolation à un système de ventilation efficace pour assurer le renouvellement d’air dans un logement devenu plus étanche.
Comme l’air chaud est plus léger que l’air froid, il a tendance à monter et à s’échapper par le toit, lorsque la couverture est mal isolée.
Cette déperdition de chaleur représente jusqu’à 30 % des pertes thermiques. Le toit est ainsi la zone où les pertes de chaleur sont les plus importantes donc l’isolation thermique des toitures est une priorité en termes de rénovation thermique.
La conductivité thermique est la capacité d’un matériau à conduire la chaleur.
En matière de performances thermiques, les matériaux usuels assurant la fonction porteuse, comme le béton, le parpaing ou même la pierre de taille présentent en général un faible pouvoir isolant. Il faut leur ajouter un isolant thermique : la laine de verre, la laine de roche, la laine de chanvre, le polystyrène PSE, le polyuréthane, la laine de bois, etc.
Dans le premier cas, la pose d’un isolant se fait contre les parois intérieures du bâtiment alors que dans le second, le matériau isolant est posé du côté extérieur des murs.
L’ouverture des fenêtres est insuffisante pour évacuer l’humidité au fur et à mesure de sa production. Seule la ventilation continue, mécanique ou naturelle assistée permet d’évacuer efficacement l’humidité.
Les fenêtres jouent un rôle important dans votre logement. Elles servent de rempart aux intempéries, permettent de laisser entrer la lumière et isolent thermiquement et acoustiquement votre logement.